Les races selon l’anthroposophie

Nous publions ici quelques uns des propos de Rudolf Steiner sur les races et les peuples. On pourra constater son racisme et son antisémitisme, qui ne font guère de doute. Pour odieux et répugnants que soient ces propos, il est important de les faire connaître afin que la vraie nature de la doctrine anthroposophique soit connue de tous et dénoncée comme elle doit l’être. Car l’anthroposophie est clairement en opposition aux droits de l’Homme, à l’esprit des Lumières et aux valeurs de la République.

Selon l’anthroposophie, l’antisémitisme n’est pas un problème. Mais les Juifs ont une tendance paranoïaque et exagèrent toute les critiques qu’on leur fait. Cette hypersensibilité est profonde chez eux, comme le savent tout ceux qui les fréquentent :


« L’antisémitisme réel n’est pas la cause de cette hypersensibilité juive, mais plutôt la fausse image du mouvement anti-juif, inventé par des imaginations surmenées. Quiconque a traité avec des Juifs sait à quel point la tendance à créer une telle image est profonde chez eux. La méfiance à l’égard des non-Juifs a complètement envahi leur âme. Je considère que les antisémites sont des gens inoffensifs.»


Rudolf Steiner, « Die Sehnsucht der Juden nach Palästina », Magazin für Literatur, vol. 66 no. 38, 1897.

Selon l’anthroposophie, les Juifs sont responsables de l’athéisme. En effet, leur spiritualité ne dépasse pas le stade de l’embryon. Les Juifs restent bloqués à l’étape du fœtus et ne peuvent donc accéder à une spiritualité moderne anthroposophique :


« L’ancien peuple juif ne souhaitait rien apprendre de plus que ce que l’être humain apporte en tant que faculté de la raison par le fait qu’il a été un embryon. La pensée de l’Ancien Testament a conduit à la science athée de l’ère moderne. »


Rudolf Steiner, « Le défi des temps » (Anthroposophic Press, 1941), pp. 28-33.

Selon l’anthroposophie, les Juifs doivent disparaître en tant que peuple, car celui-ci a fait son temps et est désormais une erreur de l’Histoire. C’est non seulement cette religion qui pose problème, mais la communauté et la manière de pensée juives :


« Le judaïsme en tant que tel a depuis longtemps fait son temps. Il n’a plus de justification dans la vie moderne des peuples. Et le fait qu’il continue d’exister est une erreur de l’histoire mondiale dont les conséquences sont inévitables. Il ne s’agit pas uniquement des formes de la religion juive, mais surtout de l’esprit de la communauté juive, de la manière de penser juive. » (GA 32)


« La meilleure chose que les Juifs pourraient faire serait de disparaître dans le reste de l’humanité, afin que la communauté juive en tant que peuple cesse simplement d’exister. »


Rudolf Steiner, « Robert Hamerling : Homunkulus », publié pour la première fois dans Deutsche Wochenschrift, vol. 6, n° 16 et 17, 1888 ; Gesammelte Aufsatze Zur Literatur 1884-1902 (Dornach, 1971), GA 32, p. 152.

« Vom Wesen des Judentums », Die Geschichte Der Menschheit Und Die Weltanschauungen Der Kulturvolker, p. 189.

Selon l’anthroposophie, des sous-hommes vivent parmi nous ! Ce sont des êtres surnuméraires qui n’ont pas de « moi » » humains. Ce sont des sortes de sauterelles humaines, un fléau de l’Apocalypse, semblables à des automates, ou à des insectes :


« A notre époque, apparaissent certaines personnes surnuméraires qui n’ont pas de « moi » et ne sont donc pas des êtres humains au vrai sens du terme. »


« L’Apocalypse désigne ici directement les êtres humains eux-mêmes quand il parle des sauterelles humaines. Plus précisément, il parle de gens qui ont une âme saine, mais qui souffrent à cause de ces personnes qui se déplacent comme des sauterelles humaines. »


Rudolf Steiner – GA 346
« Apocalypse et action pastorale », GA 346, (Rudolf Steiner Press, 1998), pp. 180, 181, 182

Selon l’anthroposophie, de plus en plus d’enfants naissent qui ne sont pas de vrais êtres humains, mais des démons qui sont entrés dans des corps d’êtres humains à la naissance. Ils vivent parmi nous et ont notre apparence, mais ce sont des démons :


« Les cas d’enfants naissant avec une forme humaine mais qui ne sont pas vraiment des êtres humains se multiplient. Ce ne sont pas sont pas des êtres humains réincarnés, mais des formes humaines remplies d’une sorte de démon naturel. Mais imaginez ce que les gens diraient s’ils apprennaient que nous disons qu’il y a des gens qui ne sont pas des êtres humains. »


Rudolf Steiner, « Conseils, réunions avec les professeurs de la première école Steiner de Stuttgart » (Anthroposophic Press, 1998), pp. 649-650

Selon l’anthroposophie, les Suédois sont naturellement mous et paresseux. Quand on veut leur enseigner quelque chose, il faut savoir qu’ils comprennent très lentement ce qu’on leur dit et il faut tout leur répéter de nombreuses fois :


« – Un enseignant :« BB est dans ma classe de septième année. Pourriez-vous me donner des conseils

– Dr Steiner : Il est paresseux ? Je pense que c’est juste sa nature, qu’il est suédois, et vous devrez accepter qu’il ne peut pas comprendre rapidement les choses. Ils appréhendent les choses lentement, mais si vous revenez souvent à de telles choses, tout ira bien. Ils adorent que les choses se répètent. »


Rudolf Steiner, « Conseils, réunions avec les professeurs de la première école Steiner de Stuttgart »
(Anthroposophic Press, 1998), p.412

Selon l’anthroposophie, l’Amérique est le pays d’Ahriman, tandis que la Russie est le pays de Lucifer. Le premier va d’ailleurs s’incarner aux États-Unis sous la forme de l’Antéchrist. Il pervertira toute l’humanité en utilisant le magnétisme terrestre :


« L’ Amérique est une région particulièrement corrompue par Ahriman. C’est la région où, à travers les conditions extérieures qui prévalent, se développe surtout une relation avec la nature méphistophélienne-ahrimanique. »

« L’ Amérique est dominée par Ahriman, la Russie par Lucifer. Ahriman-Amérique ne devrait pas dominer unilatéralement ; Lucifer-bolchevisme ne devrait pas être autorisé à dominer de façon exclusive. »


Rudolf Steiner, s’exprimant d’outre-tombe avec Helmuth et Eliza von Moltke.

« Le territoire qui mettra en avant l’Antéchrist [c’est-à-dire l’Amérique] s’efforcera d’utiliser quelque chose qui peut fonctionner à travers les forces les plus matérielles, quelque chose qui peut travailler spirituellement à travers la plupart des forces matérielles. Ce sera un secret américain que d’utiliser le magnétisme terrestre dans sa dualité, le magnétisme nord-sud, afin d’envoyer des forces pour contrôler toute la terre, des forces qui œuvreront spirituellement pour détruire la spiritualité humaine. »


Rudolf Steiner, « Secret Brotherhoods » (Rudolf Steiner Press, 2004) , p. 69., « Lumière pour le nouveau millénaire », par Helmuth et Eliza von Moltke. Lettres, documents et communications après la mort (Rudolf Steiner Press, 1997) p. 230.

Selon l’anthroposophie, il existe trois races humaines. Les Noirs ont développé la vie instinctive et leur cerveau-arrière, les Jaunes leur vie sentimentale et leur cerveau-central, les Blancs leur vie pensante et leur cerveau frontal :


Rudolf Steiner, « Vom Leben Des Menschen Und Der Erde – Über Das Wesen Des Christentums » (Dornach: Rudolf Steiner Verlag, 1993), GA 349

Selon l’anthroposophie, les Malais sont des êtres humains inutiles. En effet, étant issus d’une population mongole immigrée ils n’ont pas la capacité d’absorber la lumière solaire de leur île, ce qui décompose leurs corps. C’est donc une race mourante :


« Les Malais à la peau brune sont des Mongols qui ont émigré [c’est-à-dire des Mongols qui ont quitté leur lieu d’appartenance]. Il n’est pas dans leur nature d’assimiler autant de chaleur [du Soleil] que celle qu’ils assimilent désormais en Malaisie. Cela a pour conséquence qu’ils commencent à devenir des êtres humains inutiles. Ils commencent à devenir des êtres humains dont le corps se désintègre, des êtres humains dont le corps s’atrophie. C’est effectivement le cas de la population malaise. Hors d’orient, ils meurent. Nous pouvons donc dire que le peuple jaune, les Mongols, restent des êtres humains dans toute leur vigueur, mais que les Malais sont déjà une race mourante. Ils meurent. »


Rudolf Steiner, « Univers, Earth and Man » (Rudolf Steiner Publishing Co., 1931), pp. 131-132

Selon l’anthroposophie, tout les êtres humains sont issus d’une même race primitive. Mais tandis que les Blancs ont évolué vers le haut, les « sauvages » ont chuté vers le bas et leur apparence est devenue impure. En dessous d’eux, il y a les singes :


« Nous ne devons pas penser que les êtres humains étaient à l’origine comme les sauvages d’aujourd’hui. Les sauvages sont devenus ce qu’ils sont maintenant – avec leurs superstitions, leurs pratiques magiques et leur apparence impure – à partir d’états à l’origine plus parfaits. La seule supériorité que nous avons sur eux est que, en partant des mêmes conditions, nous n’avons pas dégénéré comme eux. Je pourrais donc dire : L’évolution de l’homme a pris deux voies. Il est vrai que les sauvages d’aujourd’hui représentent la condition originelle de l’humanité. L’humanité originelle, qui ressemblait certes davantage aux animaux, était très civilisée. Tout comme les sauvages actuels sont tombés du niveau des êtres humains des temps primitifs, les singes sont des êtres qui sont tombés encore plus bas. »


Rudolf Steiner, Anthroposophie et Anthropologie – L’éducation de l’enfant à la lumière de l’anthroposophie », GA 21.

Selon l’anthroposophie, la différence entre un Européen cultivé et un sauvage sans instruction, c’est que le premier parvient à refréner ses désirs tandis que le second suit ses passions, ses impulsions et ses envies presque comme un animal :


« Dans l’être humain d’aujourd’hui, le Moi est une chose complexe. Nous pouvons reconnaître sa nature si nous comparons les êtres humains à différents stades de développement. Regardez le sauvage sans instruction à côté de l’Européen moyen. Le sauvage sans instruction, avec son Moi, suit ses passions, ses impulsions et ses envies presque comme un animal. L’homme plus développé décide de suivre telle impulsion ou tel désir, mais d’autres, il les refrène ou les supprime complètement. »


Rudolf Steiner, GA 21, Anthroposophie et Anthropologie – L’éducation de l’enfant à la lumière de l’anthroposophie

Selon l’anthroposophie, les épidémies de lèpre au Moyen-âge sont dues aux invasions des Huns, dont les corps astraux étaient totalement contaminés par des forces démoniaques. La peur inspirée par ces démons venus d’Asie ont rendu malades les Européens :


« Avec la mort des pires parties de l’ancienne population dont j’ai parlé, toute la région s’est progressivement remplie d’êtres démoniaques. Leur influence peut être mieux perçue au moment des grandes invasions, lorsque de grandes masses de population, dont Attila et ses hordes sont venues d’Asie et ont causé une grande terreur en Europe. Celle-ci a rendu la population vulnérable aux influences des êtres démoniaques. La terreur produite par les hordes venues d’Asie eut pour conséquence ce qui s’est manifesté au Moyen Âge sous forme d’épidémie de lèpre. »


Rudolf Steiner, « La fondation spirituelle de la moralité » (SteinerBooks, 1995), p. 31.

Selon l’anthroposophie, la guerre entre la race blanche et les races de couleurs est inévitable ! La première incarne le spirituel dans le corps, tandis que les autres sont retardataires : des âmes immatures s’y incarnent, refusant l’évolution normale :


« Notre humanité civilisée blanche est née parce que certains éléments se sont séparés des Atlantes [le peuple de l’Atlantide] et se sont développés plus haut ici [en Europe], dans des conditions climatiques différentes. Certains éléments de la population atlante sont restés en arrière, aux niveaux antérieurs. Ainsi, nous pouvons voir que les peuples d’Asie et d’Amérique sont des vestiges des diverses races atlantéennes. »


Rudolf Steiner, Die Welträtsel Und Die Anthroposophie (Rudolf Steiner Verlag, 1974), GA 54, p. 145.

« Les individus s’élèvent de race en race [c’est-à-dire que chacun évolue à travers une succession de formes raciales]. Certains sont de jeunes âmes, qui s’incarnent donc dans les races qui sont restées en arrière, aux niveaux raciaux antérieurs Nos propres âmes vivaient autrefois au sein de la race Atlante, et elles se sont ensuite développées vers une race supérieure. Cela nous donne une image de l’évolution de l’humanité jusqu’à notre époque. De cette façon, nous pouvons comprendre comment justifier le principe de base de la fraternité universelle. Nos âmes évoluent d’un niveau à l’autre, d’une race à l’autre, et nous arrivons à connaître le sens de l’evolution de l’humanité lorsque nous examinons ces races. « 


Rudolf Steiner, Die Welträtsel Und Die Anthroposophie, pp. 153-154.

« L’évolution humaine future ne peut se produire sans la lutte la plus violente. La race blanche a pour caractéristique fondamentale d’absorber l’esprit plus profondément en elle. La race jaune perpétue l’époque où l’esprit a été séparé du corps [c’est-à-dire que les peuples de couleur sont restés coincés à un niveau où l’esprit et le corps sont séparés]. Mais le résultat devra être que la transition entre la cinquième époque [actuellement] et la sixième époque [la prochaine étape de l’évolution de l’humanité] ne pourra se produire sans un combat violent entre la race blanche et les races de couleur, dans les domaines les plus variés. »


Rudolf Steiner, Die Geistigen Hintergründe Des Ersten Weltkrieges, p. 38.


Rudolf Steiner, « Die Welträtsel Und Die Anthroposophie » (Rudolf Steiner Verlag, 1974), GA 54, p. 145., pp. 153-154. « Die Geistigen Hintergründe Des Ersten Weltkrieges », p. 38.

Selon l’anthroposophie, la peau blanche est la seule qui soit saine et exprime la présence de l’âme humaine au sein de la chair. Les types de peau colorées révèlent que le monde spirituel n’agit pas à travers le corps humain et sont donc démoniaques :

« La couleur qui se rapproche le plus d’une couleur de chair humaine saine est celle des fleurs de pêcher fraîches au printemps [c’est-à-dire la couleur d’une peau caucasienne saine]. Aucune autre couleur dans la nature ne ressemble autant à cette couleur de peau. La santé intérieure de l’homme s’exprime dans cette couleur « fleur de pêcher ». En elle, nous pouvons apprendre à appréhender la santé vitale de l’homme lorsqu’il est correctement imprégné par l’âme. Si la couleur de la chair tend vers le vert, c’est qu’il est maladif. Son âme ne peut pas trouver le bon accès à son corps physique. Entre les tons blanchâtres [pâles] et verdâtres se trouve la teinte de la chair saine et vivante de la fleur de pêcher. Et tout comme nous ressentons avec le vert l’image morte de la vie, ainsi nous pouvons ressentir dans la couleur « fleur de pêcher » de l’être humain sain l’image vivante de l’âme. Vous ressentez le monde comme couleur et lumière si vous ressentez le vert comme l’image morte de la vie et la couleur fleur de pêcher, couleur de la chair humaine [sic], comme image vivante de l’âme. Le blanc est l’image de l’âme imprégné de l’esprit. Le noir est l’image spirituelle de la mort. »

Rudolf Steiner, Les arts et leur mission (Anthroposophic Press, 1964), pp.93-94.

« L’imprégnation de la chair par l’esprit est la mission caractéristique, la mission globale de l’humanité blanche. Les gens ont la peau blanche parce que l’esprit travaille dans la peau quand il veut descendre dans le domaine physique. Là où l’esprit n’a pas encore travaillé en tant qu’esprit, là où il assume un caractère démoniaque, ne pénétrant pas complètement la chair, la couleur blanche de la peau n’apparait pas. »

Rudolf Steiner, Die Geistigen Hintergründe Des Ersten Weltkrieges, GA 174b, p. 37.

Rudolf Steiner, « Die Geistigen Hintergründe Des Ersten Weltkrieges » (Rudolf Steiner Verlag, 1974), GA 174b, p. 37.


« Les Arts et leur Mission» (Anthroposophic Press, 1964), pp.93-94.

Selon l’anthroposophie, les Indiens d’Amérique sont une race décadente atteinte d’une forme de sénescence prématurée. Cela se voit notamment dans l’ossification de leurs bras et dans la sclérose de leurs organismes. Ils ressemblent à des vieillards :


« Si vous regardez des photos des Indiens d’Amérique, le processus d’ossification est évident et révèle le déclin de cette race. Les peaux-rouges n’ont pas participé à l’évolution humaine normale. Ils en sont restés à l’idée archaïque d’un Grand Esprit des origines. »


Rudolf Steiner « Âmes des peuples », pp. 108-109.

Selon l’anthroposophie, le métissage est une mauvaise chose pour l’humanité, car le mélange des sangs entre des races différentes fait perdre aux êtres humains les capacités de clairvoyance et d’accès au monde spirituel :


« L’organisme physique de l’homme survit quand du sang étranger entre en contact avec du sang étranger, mais la faculté de clairvoyance périt sous l’influence de ce mélange sanguin, ou exogamie. »


Rudolf Steiner « La signification occulte du sang » , p. 42.

Selon l’anthroposophie, les Indiens et les Noirs sont des peuples inférieurs qui ont dévié de la ligne droite de l’évolution. Les premiers ont la peau rouge en raison d’un Moi excessif, les seconds la peau noire en raison d’une déficience de leur Moi :


« Toutes les personnes vivant sur Terre aujourd’hui ne se situent pas au même niveau de développement. A côté de ces gens qui se situent à un stade élevé de civilisation, il y a des peuples primitifs qui ont pris du retard culturellement et sont loin derrière. Nous avons devant nous, avec la race américaine, un peuple autochtone primitif qui est resté loin, très en arrière, notamment dans sa vision religieuse du monde. Mais cette race a conservé la croyance en un dieu unique, qui leur parle à travers tous les sons de la nature. Les Européens se sont élevés à un niveau supérieur de culture, tandis que les Indiens sont restés en arrière et sont devenus décadents. Il faut toujours prêter attention à ce processus évolutif. Il peut être décrit comme suit : au cours des millénaires, notre planète se transforme, et cette transformation exige également un développement de l’humanité. Les branches latérales qui ne correspondent plus aux conditions actuelles deviennent décadentes. Ainsi nous avons un tronc évolutif droit ainsi que des branches latérales qui se décomposent. »


« C’étaient les êtres humains normaux qui étaient les plus capables d’évoluer. Les peuples [anormaux] dont l’impulsion du Moi a été trop fortement développée ont progressivement erré vers l’Ouest [de l’Atlantide] et sont devenus les Indiens peau-rouges d’Amérique. De même, les êtres humains anormaux dont le sentiment du Moi était trop peu développé ont migré vers l’Est, et sont devenues la population noire d’Afrique. Ce phénomène a déposé trop de constituants carboniques dans leur peau et celle-ci est devenue noire. C’est pourquoi les nègres sont noirs. Ainsi, à l’est de l’Atlantide, dans la population noire, et à l’ouest de l’Atlantide, dans la population rouge, nous trouvons des survivants de personnes qui n’ont pas développé leur sentiment du Moi d’une manière normale. Les êtres humains qui s’étaient développés normalement se prêtaient le mieux à l’évolution spirituelle de l’humanité. »


Rudolf Steiner, « Menschheitsentwickelung Und Christus-Erkenntnis » (Rudolf Steiner Verag, 1981) , GA 100, pp. 243-244.
« L’être de l’homme et son évolution future » (Rudolf Steiner Press, 1981), pp. 118-119.

Selon l’anthroposophie, la forte décroissance de la population de la Chine conduit de nombreuses âmes immatures – qui étaient normalement destinées à s’incarner en Chinois – à s’incarner en Europe, dont la population est en pleine croissance :


« Un processus de sinoïsation se manifeste actuellement en Europe, comme si l’Europe devenait chinoise… Considérez ce qui suit : il existe des âmes qui, du fait de leurs vies antérieures, aurait dû s’incarner dans des corps chinois. Cependant, comme la population chinoise est loin d’être aussi nombreuse qu’elle l’était autrefois [sic], il est impossible pour toutes ces âmes chinoises de s’incarner en Chine. En Europe, en revanche, la population a considérablement augmenté ces derniers temps, et [par conséquent] de nombreuses âmes peuvent être hébergées ici, alors qu’elles étaient à l’origine destinées à s’incarner dans des corps chinois. C’est l’une des raisons pour lesquelles des observateurs avertis commencent à remarquer que l’Europe est en train de devenir chinoise. En provoquant «l’opiumisation» des corps chinois et en faisant naître des générations entières sous l’influence des forces de l’opium », il aurait été possible de condamner les Chinois à accueillir, dans une certaine mesure, des âmes très immatures, sous-évoluées. Mais ces âmes qui avaient elles-mêmes décidé de s’incarner dans des corps chinois furent empêchées d’approcher ces corps opiumisés. Elles ont donc été détournées vers l’Europe, où elles ont introduit parmi la population européenne ces traits (les caractéristiques physiques des mongoliens) qui ont, entre-temps, été relevés. »


Rudolf Steiner – GA 173
« Le Karma de l’insincérité » Vol. 1 (Rudolf Steiner Publishing Co., 1988), conférence 13, GA 173.

Selon l’anthroposophie, les asiatiques ne comprennent pas l’existence de l’industrie, car leur atavisme médiumnique de peuple retardataire leur permet de percevoir qu’il s’agit d’un non-sens, que le travail réalisé par les machines est un trou cosmique :


« Le progrès des machines et de l’industrialisation n’ont aucun sens pour un oriental. La politique européenne de l’ère de la machine est parfaitement insensée pour lui. Il ne peut pas la comprendre. En effet, lorsque les Orientaux éduqués s’expriment, ils disent que leur sentiment qu’un quart de tout le travail humain accompli actuellement est insensé. Bien sûr, les gens éduqués à la manière traditionnelle orientale ne le disent pas, seuls ceux qui sont tournés vers l’Occident et limitent, comme les Japonais, le font. Les Orientaux modernes instruits ont un degré élevé de clairvoyance atavique : ils perçoivent ainsi que tout ce que les gens mettent comme énergie dans des machines en tant que travail a une caractéristique très particulière. En effet, quand quelqu’un laboure le champ avec un cheval, travaillant avec le cheval, ce travail contient encore des forces naturelles et une signification pour l’avenir. Mais lorsque vous entrez dans une usine moderne complètement remplie de machines, vous vous trouvez en face d’un trou cosmique, quelque chose qui est sans signification dans le développement cosmique. »


Rudolf Steiner, « L’éducation comme force de changement social » (Anthroposophic Press, 1997), pp. 32-33.

Selon l’anthroposophie, la civilisation chinoise est un reliquat de la civilisation atlantéenne, effondrée 10 000 ans av. JC. C’est pourquoi elle n’a pas évolué depuis. La grande muraille est d’ailleurs un souvenir de l’insularité de l’Atlantide :


« Les anciens Chinois possèdent un merveilleux héritage culturel atlante [c’est-à-dire un héritage issu de l’Atlantide], mais ils sont incapables de progresser au-delà de ce point culminant. »


Rudolf Steiner, « L’apocalypse de St. Jean » (Presse anthroposophique, 1993), p.40

Selon l’anthroposophie, les Japonais imitent avec précision les inventions des Européens, mais ne possèdent par eux-mêmes strictement aucune capacité propre de créativité ni d’inventivité :


« Les Japonais suivront toutes les inventions européennes, mais ils n’imagineront jamais quelque chose par eux-mêmes. »


Rudolf Steiner, « Vom Leben Des Menschen Und Der Erde – Über Das Wesen Des Christentums » , p. 59.

Selon l’anthroposophie, il est très dangereux pour les femmes européennes de lire des romans écrits par des nègres lorsqu’elles sont enceintes : à la naissance elles se retrouveront avec un enfant tout gris, le corps et des cheveux de mulâtre :


« Si nous donnons à lire ces romans nègres à des femmes [blanches] enceintes, alors il ne sera même pas nécessaire que les nègres viennent en Europe pour que des mulâtres apparaissent. Simplement à travers les effets spirituels de la lecture de romans nègres, une multitude d’enfants naîtront en Europe qui seront complètement gris, qui auront des cheveux mulâtres, qui ressembleront à des mulâtres ! »


Rudolf Steiner, GA 348, « Über Gesundheit Und Krankheit » (Santé et maladie) (Rudolf Steiner Verlag, 1994), GA 348, p. 189.

Selon l’anthroposophie, l’Afrique est une zone géographique où les êtres humains sont dominés par les forces terrestres. C’est pour cela que les Noirs sont une race décadente et que les Africains ont le même niveau mental que celui des enfants :


« Les « noirs » sont « décadents » et « se coupent complètement du monde spirituel. » » (GA190)


« Un centre d’influence cosmique est situé à l’intérieur de l’Afrique. De là émanent des forces terrestres qui peuvent influencer l’homme, surtout pendant sa petite enfance. La race noire ou nègre est substantiellement déterminée par les caractéristiques de l’enfance. »


Rudolf Steiner, « Vergangenheits Und Zukunftsimpulse Im Sozalien Geschehen » (Rudolf Steiner Verlag, 1980), GA 190, p. 149. « Âmes des peuples » (Rudolf Steiner Press, 2005), p. 75.

Selon l’anthroposophie, les individus qui ont une conception matérialiste de la vie formeront peu à peu une nouvelle race humaine, aussi grotesque et décadente que celle des singes. A l’avenir, les matérialistes auront des formes simiesques dépravées :


« Les âmes pensant de manière matérialiste concourent à la formations de races maléfiques. Tout comme autrefois sont apparues des espèces de singes qui nous semblent grotesques aujourd’hui, les individus matérialistes épousent le point de vue du mal, et peupleront la Terre de races mauvaises. Il appartiendra entièrement à l’humanité de savoir si une âme restera dans la mauvaise race ou s’élèvera, grâce à la science spirituelle anthroposophique, jusqu’à une bonne race. »


Rudolf Steiner, « Rosicrucian Wisdom » (Rudolf Steiner Press, 2000), p. 150.

Selon l’anthroposophie, les habitants de la Malaisie forment une race dégénérée, dominés par leurs instincts pervers et sensuels. Cela vient du fait que des âmes mauvaises choisissent de continuer à s’y incarner, empêchant cette race de disparaître :


« Chacun a le choix entre se laisser prendre dans son incarnation, de repousser le guide suprême de l’humanité [le Christ cosmique], ou bien d’évoluer vers des races supérieures, vers une perfection toujours plus élevée. Les races ne deviendraient jamais décadentes, ne déclineraient jamais, s’il n’y avait pas d’âmes incapables de s’élever spirituellement. Regardez les races inférieures : elles n’existent que parce que certaines âmes sont incapables de s’élever. » (GA 102)


« Parmi les races inférieures, les Malaisiens sont un reliquat du passé. Par conséquent, parmi eux, il existent des tendances à certains instincts passionnés et sensuels. »


Rudolf Steiner, Das Hereinwirken Geistiger Wesenheiten À Den Menschen (Rudolf Steiner Verlag), GA 102, p. 174. « Univers, Earth and Man (Rudolf Steiner Publishing Co., 1931), pp. 131-132.

Selon l’anthroposophie, les âmes qui se sont incarnées dans des races inférieures ne sont pas irrémédiablement condamnées. Car si elles s’améliorent, elles pourront ensuite se réincarner dans des races ascendantes comme les Blancs, et non en déclin :


« Nous devons distinguer entre l’évolution de l’âme et l’évolution de la race. Une âme peut être incarnée dans une race en déclin ; mais si cette âme ne persévère pas dans sa méchanceté, elle ne se réincarnera pas dans une race en déclin, mais dans une race ascendante. Suffisamment d’âmes mauvaises affluent vers la Terre pour s’incarner dans les races en déclin. »


Rudolf Steiner, « Enquêtes sur l’occultisme montrant sa valeur pratique dans la vie quotidienne » (Kessinger, fac-similé de l’édition 1920), p. 138.

Selon l’anthroposophie, les races sont territorialisées. Les Blancs appartiennent à l’Europe, les Noirs à l’Afrique et les Jaunes à l’Asie. Le fait qu’il y ait des gens de couleur noire en Europe est un grave problème car ils ne sont pas à leur place :


« Quand nous demandons quelle race appartient à quelle partie de la terre, nous devons dire: la race jaune, les Mongols, la race mongole appartient à l’Asie, la race blanche ou la race caucasienne appartient à l’Europe, et la race noire ou la race noire appartient à l’Afrique. La race noire n’appartient pas à l’Europe, et le fait que cette race joue maintenant un si grand rôle en Europe n’est bien sûr qu’une nuisance. »


Rudolf Steiner, « La couleur et les races de l’humanité », Vom Leben Des Menschen Und Der Erde – Über Das Wesen Des Christentums

Selon l’anthroposophie, lors de la prochaine grande civilisation, les mauvaises âmes devront se réincarner dans la « race des méchants », où ils devront vivre dans des corps laids, répugnants, ressemblants à des animaux sensuels et vicieux :


« Nous sommes maintenant dans la cinquième race racine. La sixième verra une toute autre race, noble et belle, qui contrastera avec celle des rejetés : une race d’hommes horriblement laids, ressemblants à des animaux, sensuels, vicieux, se dégradant toujours plus. »


Rudolf Steiner – GA 97, « Das Christliche Mysterium » (Dornach, 1981), GA 97.

Selon l’anthroposophie, une clef essentielle pour toute compréhension de l’histoire et de la vie sociale est l’appartenance raciale des individus. La couleur de peau est en effet un élément déterminant pour saisir la logique des évènements du monde :


« On ne peut comprendre l’Histoire et toute la vie sociale, y compris la vie sociale contemporaine, que si l’on prête attention aux caractéristiques raciales des gens. Et on ne peut comprendre tout ce qui est spirituel de manière juste que si l’on examine d’abord comment cet élément spirituel opère chez les gens, précisément à travers la couleur de leur peau. »


Rudolf Steiner, GA 349, « Vom Leben des Menschen und der Erde – Über das Wesen des Christentums » (Verlag Der Rudolf Steiner-Nachlassverwaltung, 1961), GA 349, p. 52.

Selon l’anthroposophie, les rayons solaires sont si concentrés dans la peau des Noirs que leur métabolisme est en constante ébullition. C’est la raison pour laquelle ils sont prisonniers de leurs pulsions sexuelles, dirigées par leur cerveau-arrière :


« En Afrique, les êtres humains ont une façon particulière d’aspirer, d’absorber toute la lumière et la chaleur du cosmos. C’est pourquoi la vie du corps et le métabolisme sont si fortement développés chez les nègres. Ceux-ci sont dominés par un fort appétit sexuel par de forts instincts. Et comme, chez eux, tout ce qui vient du soleil – lumière et chaleur – se trouve réellement à la surface de la peau, tout leur métabolisme fonctionne comme si le soleil lui-même bouillait à l’intérieur. Cela provoque leurs passions. Au sein d’un nègre, le feu de la cuisinière ne s’éteint jamais et c’est leur cerveau-arrière qui allume le feu. »


Rudolf Steiner, « Vom Leben des Menschen und der Erde – Über das Wesen des Christentums » , p. 55.

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