Soutenir Grégoire Perra

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Chers ami(e)s,

Chers lectrices et lecteurs de mes blogs,

Je me permets aujourd’hui de vous écrire afin de vous informer d’une nouvelle importante et de solliciter votre aide : les anthroposophes me font un nouveau procès et je vais avoir besoin de votre soutien pour pouvoir me défendre !

Les deux motifs de la plaintes sont injures et diffamations dans l’article du 7 octobre 2018 : Mon expérience de la médecine anthroposophique. On me reproche de me répandre contre l’Anthroposophie sur mon blog, dans les journaux et lors de colloques car je serais animé d’une « haine pathologique » à l’égard de ce mouvement depuis des années. On demande au tribunal de me punir sévèrement pour me dissuader de poursuivre de la sorte. Le jugement du 24 avril 2013 qui statuait sur le fait que ma dénonciation de l’Anthroposophie « loin d’être animée par une haine farouche est le fruit d’une réflexion philosophique sur l’Anthroposophie et ses modes de diffusion » est évoqué, mais le plaignant affirme que ce jugement n’était valable que « dans ce cas précis et dans ces circonstances particulières ». Je me demande bien comment une démarche qui était fondée sur une réflexion philosophique il y a 5 ans aurait pu changer de fondements par la suite, alors que mes ecrits sont dans la continuité et sur le même ton que mon article « L’endoctrinement des élèves à l’Anthroposophie dans les écoles Steiner-Waldorf », qui etait visé par la premiere plainte.

Sur cette page, je vais faire le point sur cette plainte et sur ma démarche, afin que chacun puisse se faire une idée précise des raisons pour lesquelles je sollicite aujourd’hui du soutien.

Certains d’entre vous sont des lecteurs occasionnels, d’autres me suivent et me lisent avec assiduité depuis des années. Certains d’entre vous sont pour moi de parfaits inconnus. D’autres ont eu avec moi des contacts directs, voire m’ont rencontré. D’autres encore sont venus vers moi en me faisant part de situations sombres et douloureuses, sollicitant mon aide et mes conseils, que j’ai eu à coeur de leur apporter du mieux que je le pouvais.

Vous connaissez donc tous, à des degrés divers, le travail d’enquête, de réflexion et de témoignage réalisé depuis cinq ans sur mon blog intitulé La vérité sur les écoles Steiner-Waldorf et l’Anthroposophie. Peut-être aussi celui réalisé sur un autre blog qui en fut le prédecesseur (Blog de Grégoire Perra). Le second blog est en effet la continuation du premier, rendu aujourd’hui à sa dimension personnelle.

La création du blog « La vérité sur les écoles Steiner-Waldorf » faisait suite à la rédaction de mon article « L’endoctrinement des élèves à l’Anthroposophie dans les écoles Steiner-Waldorf », paru sur le site de l’UNADFI en juillet 2011, qui me valut, avec Catherine Picard et Marie Dhrilon, un procès à la dixseptième chambre correctionnelle de Paris, dont nous sortîmes vainqueurs. C’est après ce verdict qu’est née l’idée de créer un blog où mes réflexions sur les écoles Steiner-Waldorf et l’Anthroposophie – commencées sur mon blog personnel – pourraient trouver un cadre plus adapté. La création de ce nouveau blog était dans la droite ligne et la parfaite continuité de mon article paru sur le site de l’UNADFI. Car je voulais continuer à témoigner et à analyser mon vécu au sein de l’Anthroposophie, continuer à dire tout ce que je savais et n’avais pas pu ecrire dans les 44 pages de l’article en question, afin de mieux comprendre ce monde de l’Anthroposophie et aider mes lecteurs à faire de même. Ce travail est donc animé par le même desir de contribuer à faire toute la lumière sur un mouvement tentaculaire, complexe, insidieux et à mon sens dangereux pour les individus et la société. Depuis 5 ans, il a porté de nombreux fruits :

– révélations sur la vraie nature de l’Anthroposophie et de ses différentes extensions : écoles Steiner-Waldorf, NEF, Triodos, Biodynamie, Weleda, école du Domaine du Possible, Pierre Rabhi, avec parfois des répercussions médiatiques importantes, comme ce fut le cas avec Françoise Nyssen, etc. ;

– mise à disposition de la presse d’informations et d’analyses qu’on ne trouve nulle part ailleurs ;

– moyen pour les victimes de l’Anthroposophie de trouver un interlocuteur disponible pour comprendre ce qui leur est arrivé et pour recevoir leurs témoignages ;

– travail de concert avec d’autres associations de lutte et de vigilance contre les dérives sectaire (CLPS, UNADFI, GEMMPI, FECRIS, CCMM, etc.) ;

– remontée d’informations sensibles auprès de la MIVILUDES.

Ce travail de ma part a été réalisé bénévolement, en toute indépendance, mais sans pour autant se faire dans l’isolement, car j’ai constamment entretenu des liens avec les autres associations de luttes contre les dérives sectaires. Sachant le danger de travailler seul dans des cas aussi sensibles que celui des dérives sectaires – c’est-à-dire des groupes qui s’isolent de manière mortifère – j’ai su m’associer à une communauté compétente et avertie.

Je dénonce l’Anthroposophie sur la base de reflexions sérieuses et méthodiques, de documents et de références précises, dans un soucis constant d’exactitude et de pertinence, sans jamais m’en prendre aux personnes elles-mêmes des anthroposophes, mais en dévoilant la logique d’un système dans lequel elles sont prises, parfois à leur insue. Je le fais sans colère, sans animosité ni haine aucune, avec calme et mesure, sans considérer les anthroposophes comme des ennemis, mais plutôt comme des victimes (pour celles qui peuvent encore prétendre au statut de victimes). Que mes remarques, mes dénonciations et ma capacité à voir clair dans leur jeu les horripile, je peux aisement le concevoir. Mais des hommmes honnêtes ne devraient-ils se rejouir quand des critiques dures mais justes leur sont adressées ?

Je le fais sans me laisser atteindre par les rumeurs et les calomnies lancées contre moi par les anthroposophes afin de neutraliser mes critiques aux yeux des sympathisants et des adeptes, considérant que ma personne n’a pas une telle importance que je doive perdre du temps pour la défendre auprès de gens qui de toutes facons ne verront de moi que ce qu’on voudra leur montrer. Je le fais sereinement, avec la conscience qu’il s’agit pour moi d’une forme de devoir envers la vérité.

Devoir qui parfois – mais pas toujours – entre en contradiction avec un autre devoir, impérieux lui-aussi, qui est celui de rebâtir et consolider ma propre vie personnelle, après trentes années passées dans l’Anthroposophie. Ma vie personnelle n’a en effet rien de celle de quelqu’un qui se serait laissé enfermé dans une logique de haine ou de revanche : je voyage, je danse, je lis, j’écris, j’aime mon travail et mon existence, me réjouissant chaque jour des merveilles que le monde offre à mon regard, à mon intelligence et à ma sensibilité. Je suis en paix avec mon passé, je n’ai ni remords, ni regrets, ni rancunes : je tire profit de mes expériences et je vais de l’avant !

Aujourd’hui, les anthroposophes semblent avoir décidé de rejouer la partie perdue il y a cinq ans, en portant de nouveau plainte contre l’un de mes articles, avec les mêmes lamentables arguments que naguère. Cette fois, ce sont les représentants de la médecine anthroposophique qui ont déposée contre moi une plainte auprès du Tribunal de Grande instance de Strasbourg, accusant l’un de mes articles intitulé Mon expérience de la médecine anthroposophique de contenir des propos injurieux et diffamatoires, me réclamant plus de 35 000 Euros de dommages et intérêts.

Connaissant les connexions qui unissent les différentes institutions issues de l’Anthroposophie, il est fort probable qu’il s’agit d’une action concertée, désignant cette fois la médecine anthroposophique comme fer de lance de l’attaque, là où la pédagogie Steiner-Waldorf a lamentablement échoué il y a cinq ans. Qu’importe le plaignant ! Il ne fait selon moi pas de doutes que les anthroposophes veulent aujourd’hui leur revanche et tentent de faire taire par des voies juridiques une personne qui a dernièrement mis un peu trop en lumière leurs activités occultes, surtout depuis que mon nom est régulièrement cité par les grands journaux, comme Le Monde Diplomatique, Libération, La Croix, La Provence, La Libre Belgique, Science-Presse, ou que j’ai été invité à m’exprimer dans une émission d’une chaîne YouTube à forte audience comme La Tronche en Biais. (Lire à ce sujet : Les anthroposophes me font un nouveau procès). Il faut maintenant faire taire coûte que coûte quelqu’un que les médias prennent désormais au sérieux depuis que le scandale survenu avec l’école de Françoise Nyssen à confirmé publiquement ses dires.

Je suis pour ma part prêt à faire face sans faiblir à cette nouvelle tentative d’atteinte à la liberté d’expression, convaincu de la nécessité de l’existence de mes écrits et de leur libre accès sur internet. C’est bien mal me connaître que de croire qu’il est possible de m’intimider, de me briser, de m’acheter ou de me faire craindre pour ma réputation ! Au contraire, ce genre d’acte contre moi et le nécessaire combat que je porte ne font que renforcer ma conscience et ma détermination !

Dénoncer l’Anthroposophie et sa pseudo médecine n’est pas pour moi une partie de plaisir, mais un acte moral et un devoir citoyen. J’ai d’ailleurs beaucoup hésité à évoquer certaines pratiques et certains faits que je décris dans mes articles, eût égard au fait que les personnes qui les ont accomplit ont parfois été autrefois des amis à qui je n’ai rien à reprocher à mon endroit, où des médecins qui ont cherché à me soigner du mieux qu’ils le pouvaient dans le contexte et avec les croyances qui étaient les leurs. Je n’avais nulle envie de leur faire du tort, bien au contraire, me sentant toujours d’une certaine façon reconnaissant à leur égard. C’est d’ailleurs pour cela que je n’ai fourni aucun nom. Mais j’ai estimé que me taire vis à vis de pratiques que j’avais pu observer serai revenu à m’en rendre complice.

Cependant, faire face à l’échéance d’un nouveau procès, – voire sans doute d’autres ultérieurs, que les diverses émanations de l’Anthroposophie ne manqueront probablement pas de me faire, conformément à leur nouvelle stratégie – va nécessiter des fonds. Payer un bon avocat, faire face aux frais de préparation de dossiers, etc., tout cela nécessite de l’argent. Un argent que je n’ai pas, ayant pour seules ressources mes revenus de professeur de l’Education Nationale. C’est pourquoi je me suis résolu de faire appel aux dons et à ouvrir une plateforme par laquelle chacun pourra verser les sommes qu’il souhaite. Celle-ci est disponible via le lien ci-dessous. Vous êtes invités à y contribuer à mesure de vos moyens, de votre conscience de l’importance de l’enjeu, de votre désir de me soutenir :

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Sachez que j’ai beaucoup de scrupules à solliciter ainsi publiquement de l’aide financière. Jamais je ne le fais à titre privé, bien que j’ai parfois traversé des années très difficiles. Ceux qui me connaissent personnellement savent que je répugne profondément à me mettre en avant, ou à solliciter quoi que ce soit pour moi-même. Et que je n’ai jamais tiré le moindre profit financier de mon travail sur l’Anthroposophie, bien au contraire. Mais cette nouvelle perspective judiciaire change la donne !

J’ai du en effet réfléchir au fait que ce n’est pas seulement ma personne qui est aujourd’hui en jeu à travers ce nouveau procès qui m’est intenté, mais à travers moi la possibilité de critiquer et dénoncer les dérives sectaires de l’Anthroposophie. S’appuyant sur les sommes considérables que l’empire anthroposophique est capabable de mobiliser d’un simple claquement de doigt, les anthroposophes voudraient maintenant étendre leur pouvoir de censure sur tout ceux qui seraient à même de dénoncer leurs pratiques, de critiquer leurs méthodes et de révéler leurs vrais visages.

Nous sommes presque parvenus dans notre pays à une sorte de point de non retour, que d’autres nations ont irrémédiablement dépassé depuis longtemps : les discrètes extensions de l’Anthroposophie, comme Weleda, la NEF ou la Biodynamie, sont chaque jour un peu plus présentes dans nos medias. Comme en Allemagne ou en Suisse, elles feront bientôt partie du paysage, comme si elles avaient toujours été là, si bien qu’il ne sera plus possible de les critiquer ou de les remettre en cause publiquement sous peine de graves représailles. Bientôt, il est à craindre que plus aucun journal n’osera la publication d’une enquête comme celle réalisée au mois de juillet 2018 par Jean-Baptiste Malet dans le Monde Diplomatique. Mes voyages sur les autres continents depuis plusieures années m’ont en outre apportée l’intime conviction que la France est l’un des derniers pays au monde qui – en raison de sa tradition de laïcité et son idéal de liberté des sujets – résiste encore à l’extension de l’Anthroposophie. C’est probablement le seul endroit où l’on soit encore capable de faire entendre la voix de la vérité à son sujet. En effet, dans de nombreux pays du Nord de l’Europe, l’Anthroposophie est triomphante. En Chine, elle est en plein essor. En Amérique latine elle s’étend partout sans rencontrer d’obstacles. En Amérique du Nord, le nombre d’écoles Steiner-Waldorf parle de lui-même. En Inde, les anthroposophes implantent tant qu’ils le veulent et sans aucun contrôles de nouvelles structures. Une prospective mondiale exhaustive brosserait sans doute un portrait encore plus sombre de la situation que le mien.

Sans vouloir en grossir artificiellement l’importance, je crois donc que des choses importantes vont se jouer autour du procès que m’intente aujourdhui les anthroposophes (ou ceux qu’ils m’intenteront demain). Soit la France, par le biais de sa Justice, les déboute une nouvelle fois et permet qu’une critique avertie de ce mouvement puisse être audible à qui voudra l’entendre. Soit je suis condamné et s’éteindra pour longtemps toute possibilité de témoigner librement à ce sujet.

Personne ne peut augurer de ce que sera un jugement de justice, même quand on sait juste la cause défendue et solides les arguments en sa faveur. Mais il importe de faire tout ce qui est son pouvoir pour que la vérité puisse triompher. C’est pourquoi j’ai besoin de pouvoir me préparer efficacement, épaulé d’un bon avocat. Pour cela, j’ai besoin de votre aide !

Pour ma part, j’ai toujours critiqué les anthroposophes avec respect. Car si la doctrine anthroposophique est par de nombreux aspects ridicule et méprisable, les gens qui y adhèrent sincèrement ne le sont pas. J’ai toujours refusé de m’associer à des critiques qui la dénigrerait au nom d’une doctrine ou d’une religion qui se considéreraient supérieures. Et je ne fais pas partie de ceux qui pensent que toute attitude religieuse est nécessairement condamnable : pour moi, il est possible d’être croyant sans perdre son libre-arbitre et sa raison, même si je sais aussi que cela ne doit pas être toujours facile. Ce qui me semble condamnable avec l’Anthroposophie n’est pas sa dimension religieuse, mais sa dimension sectaire, c’est-à-dire la logique de dissimulation et de mensonge dont elle s’entoure pour séduire de nouveaux adeptes, et en particulier lorsqu’elle le fait avec des enfants dans les écoles Steiner-Waldorf. Je n’hésite jamais à dire que je serais le premier à défendre les anthroposophes si on voulait les empêcher de croire à leur doctrine ou à leur vision du monde au nom d’une quelconque police de la pensée ! Mais je m’oppose à ce que cette doctrine se répande par le biais d’un endoctrinement insidieux et de pratiques condamnables.

En retour, les dirigeants de l’Anthroposophie sont loins d’avoir répondu à mes critiques avec le même respect. Tout d’abord, une véritable campagne de denigrement et calomnie a été dirigée contre ma personne au sein du milieu anthroposophique. Celle-ci s’est même étendu aux parents et jusqu’aux élèves des écoles Steiner-Waldorf, ce qui a donné lieu à des lettres d’insultes qui m’ont été adressées. Un journaliste m’a même appris que, dans certaines écoles Steiner-Waldorf, les élèves avaient peur de mon simple nom. On m’a également transmis des courriels privés que des salariés du Goetheanum avaient écrits à des inconnus sur les réseaux sociaux pour répandre des horreurs à mon sujet. Un anthroposophe salarié du Goetheanum nommé Louis-Marie Defèche pousse le cynisme de cette attitude en m’adressant publiquement les propos suivants :

« Le fait que l’anthroposophie favorise l’émancipation de l’individu : tu en es la preuve vivante, car comme tu le dis, tu n’as pas eu de difficulté à critiquer l’anthroposphie au sein même du mouvement, et tu n’as pas eu de difficulté à t’en éloigner comme d’autres personnes, librement. Il existe un nombre élevé de jeunes ayant été en école Steiner qui n’ont aucun lien avec l’anthroposophie, ils ont fait leur vie librement. Les écoles Steiner n’enseigne pas l’anthroposophie comme tu le prétends, elles aident les enfants à grandir selon leur propre rythme et leur propres impulsions. Est-ce qu’on enseigne les science de l’éducation aux enfants dans les écoles d’état? Non. De même on enseigne pas l’anhroposophie dans les écoles Steiner. Si tu as choisi d’étudier l’anthroposophie elle-même, c’est ton choix et tu ne peux en rejeter la responsabilité sur d’autres. Tu es libre. L’anthroposophie est un mouvement de pensée non coercitif et non sectaire. Si tu veux le critiquer tu peux le faire. »

Si je veux critiquer l’Anthroposophie je peux le faire ? Sauf que quand je le fais – et par deux fois – les anthroposophes me font un procès. Et si je suis libre aujourd’hui, n’est ce pas plutôt parce que j’ai eu la force de me désendoctriner hier ? Comment discuter avec des gens aussi faux ? Comment supporter ces visages tout sourires qui vous invitent doucereusement au dialogue, mais qui dans le même temps se concertent pour vous envoyer une assignation au tribunal ?

De telles méthodes ne les honorent pas. Elles ne font que confirmer la nature qui leur est reprochée et conforte mes dénonciations. Il est temps que les anthroposophes comprennent qu’il va leur falloir mettre un terme définitif à ces pratiques. En commençant par les débouter une nouvelle fois de leur plainte, la Justice française leur donnerait la leçon qu’une première défaite ne semble pas avoir suffit à leur faire comprendre !

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En vous remerciant de votre soutien,

Grégoire Perra